Assemblée générale du Comité de Rivière 2009 - Gave de Pau Amont
Le 23 avril dernier, à la salle de la terrasse d’Argelès-Gazost, de nombreux élus se sont retrouvés autour du président Georges Azavant à l’occasion de l’assemblée générale du Contrat de Rivière. Celui-ci s’attache, chaque année, à informer les différents acteurs de l’eau sur son état d’avancement lors des réunions du Comité de Rivière « Gave de Pau Amont » :
De nombreux élus des vallées des Gaves étaient présents, maires, conseillers municipaux et pas moins de trois conseillers Généraux en plus de Georges Azavant : José Marthe, Bruno Lepore et Jacques Béhague ainsi que les représentants de la fédération de la pêche.
Les points qui ont été abordés et sur lesquels nous reviendrons plus précisément sont les suivants :
Une présentation générale de la Directive Cadre Européenne (DCE) sur l’eau par Marc Chédeville de la DDEA avec le SDAGE et le PDM. Il a pu préciser ce qui était hier, ce qui est aujourd’hui et ce que pourrait être demain sans occulter les conséquences financières.
Présentation des projets de Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) et de Programme de Mesures (PDM) du bassin Adour-Garonne 2010-2015, Zoom sur le bassin du Gave de Pau amont (état des lieux, enjeux locaux, objectifs fixés et mesures à prévoir) par Laurence Durot , responsable du Service Environnement / Animatrice du Contrat de Rivière Gave de Pau / Responsable du SPANC
Avis du Comité de Rivière sur les projets de SDAGE et de Programme de Mesures 2010-2015 (avis à remettre avant le 11 mai 2009),
Etat d’avancement des études et des travaux programmés dans le cadre de l’avenant 2008-2010 au Contrat de Rivière Gave de Pau,
Questions diverses où ont été notamment abordés la circulation des quads sur les berges du Gave, la création d’un site Web, le traitement des boues des stations d’épuration et même la problématique des cormorans. Un point important a également été soulevé : la question des zones humides en proximité du Gave et son éventuel classement en Natura 2000 comme d’autres zones humides. Point sensible qui ne l’est pas resté longtemps. Georges Azavant a su trancher dans le vif : « Nous avions dit que Natura 2000 se limitait au lit mineur, il n’est pas question de l’étendre au-delà des berges. » Voilà qui a le mérite d’être clair et qui n’a soulevé aucune contestation.
Louis Dollo
[bleu]Mis en ligne 1er mai 2009[/bleu]
Rédaction
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